Dans le fond, Jean Charest n’est qu’un sale carré rouge casseur violent, communiste, bolchévique, anarchiste, anti-police, pro-Black Blocs et pro-terroriste!

Je sais qu’il n’y a rien d’original là-dedans et que d’autres l’ont fait avant moi, mais ça vaut la peine d’être cité ici. Voici une version intégrale de cet article de Renée Larochelle, paru le 25 mars 1999 dans le journal Au fil des événements, qui démontre clairement que Jean Charest est, dans son for intérieur, un sale carré rouge casseur violent communiste, bolchévique, anarchiste, anti-police, pro-Black Blocs et pro-terroriste! 😉 (quoique dans le cas du terrorisme, on le savait déjà vu ce qui se passe présentement, et il l’était déjà avant même le conflit étudiant: Charest étant un pro-militaro-terroriste reconnu) Notons qu’à l’époque, Jean Charest s’opposait même à l’augmentation des frais champignons institutionnels (voir avant-dernier paragraphe) qui servent dans les faits à dégeler en catimini les frais de scolarité.

Éducation
Le Québec est en retard sur le continent

Seule une économie en santé permettra de revigorer le réseau universitaire, estime le chef du Parti libéral, Jean Charest

Les administrateurs des établissements n’ont pas à porter le blâme du déficit budgétaire que connaissent présentement les universités. (note de David: même là-dessus, il a changé d’idée!) C’est principalement au gouvernement péquiste qu’incombe la tâche d’injecter de l’argent dans le système d’éducation, afin de régler notamment l’épineux problème du sous-financement (sic) du réseau universitaire.

Tel est le verdict qu’a rendu le chef du Parti Libéral du Québec, Jean Charest, lors d’une conférence organisée par le Comité libéral étudiant de l’Université Laval, le 17 mars, au pavillon Charles-de-Koninck. Après un appel à la bombe, qui s’est avéré un canular, le chef de l’opposition à l’Assemblée nationale a fait son entrée dans un amphithéâtre plein à craquer, sur un fond d’applaudissements nourris où perçaient cependant quelques huées. « Le système d’éducation va de pair avec le développement économique, a lancé d’emblée Jean Charest. D’où l’importance que le gouvernement en place propose un plan d’action économique qui fera en sorte que le Québec rattrape le retard important qu’il a pris en matière d’éducation par rapport au reste de l’Amérique du Nord. »

Selon Jean Charest, le gouvernement Bouchard n’a pas compris le sens du mandat que lui a donné la population, lors des élections du 30 novembre dernier, au cours desquelles le PLQ aura finalement récolté le plus grand nombre de voix. Ainsi, a affirmé le politicien, le discours actuel gravite essentiellement autour de la question de la séparation du Québec, pendant que la population, elle, ne cesse de s’appauvrir, matériellement et intellectuellement: « Par rapport à la moyenne canadienne, les jeunes Québécois bénéficient de moins de ressources pour étudier. Dans 10 ou 15 ans, nous connaîtrons d’ailleurs les effets de cette situation déplorable lorsque les entreprises auront de la difficulté à recruter chez nous et se tourneront vers les étrangers pour combler les postes offerts parce qu’ils seront mieux préparés au marché du travail. »

Les frais au frais (note de David: Charest fait aussi référence aux frais champignons institutionnels)

Par ailleurs, le chef libéral a insisté sur la nécessité de créer une loi-cadre sur les frais de scolarité qui, selon lui, permettrait l’accessibilité à l’éducation pour tous, de même que le maintien des frais de scolarité à un seuil bas: « Le gouvernement doit respecter sa décision de geler les frais de scolarité. À cet égard, je lui demande de donner les moyens aux universités de respecter les engagements (note de David: Charest parle ici des frais champignons institutionnels) qu’il a pris sur cette question. »

Qualifiant le gouvernement Bouchard de « dirigiste » et d' »interventionniste », Jean Charest a dénoncé l’intention du gouvernement d’accroître son intervention dans plusieurs secteurs d’activité, une attitude qui s’inscrit mal, à son avis, dans les tendances nord-américaines. « La croissance économique au Québec est l’une des plus faibles en Amérique du Nord, avec pour conséquence que ce sont nos voisins du Canada et des États-Unis qui s’enrichissent. Le Québec remporte également la palme en ce qui concerne les taxes et les impôts, sans compter le chômage et les coupures dans la santé et dans l’éducation. Il est temps que tout cela finisse et qu’un plan d’action économique soit mis de l’avant. »

RENÉE LAROCHELLE

2 Réponses

  1. «On voulait lui faire part que notre projet est toujours en attente depuis deux ans et demi. Dans ce dossier-là, on ne fait pas seulement demander de l’argent. On démontre notre sérieux et on établit clairement que le développement du tourisme sportif peut être un créneau économique intéressant pour la région», ajoute le maire.

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