LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!

LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!
LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS!

Au moins, voilà un truc auquel je suis d’accord avec les gens de Liberté-Corpo-Fasciste-Culbec. Maudite gang d’écoeurants du cartel anarcho-drouatiste 😉 qui veulent désenchanter les enfants! Faut que l’État légifère contre les rabats-joie rapporteurs de secrets de polichinelle comme moi, ça presse! 😉

68 Réponses

  1. Ouin!!!!!!!!!!!

    1. 😉

      Ravi de ton retour ici, ça faisait trop longtemps! 🙂 Désolé de te désenchanter. Je suis un sale écoeurant! 😉

      1. Le Père Noël existe, mon fils de trois ans me le répète allègrement.
        Je ne briserai jamais, pour tous l’or du monde ces illusions d’enfants.
        Jamais…

        1. Mais attention, il y a de nombreux Pères Noël qui existent! 😉

  2. Voyons, quessé ça. Quand j’étais ti-cul, je savais bien que le Père Noël n’existait pas, non plus que les Ewoks et Casper le gentil fantôme. Mais quand un de mes oncles, à Noël, arrivait en motoneige avec une fausse barbe et un manteau rouge, je faisais comme si. On appelle ça JOUER, et c’est ça la base de l’imaginaire. Croire, ce n’est pas avoir un imaginaire; c’est se faire avoir. Les parents sont scandalisés parce qu’ils ne comprennent pas la différence.

    1. Voilà! C’est tellement ça! 🙂

    2. Ah batince… que vous êtes triste !

      😦

      Mes parents étaient LOIN d’être parfaits, mais au moins j’ai vécu une enfance remplie de BEAUX rêves…

    3. Sébas: je sais pas pour vous, mais moi en tout cas, je fais encore et toujours de beaux rêves. Peut-être que c’est justement parce que je n’ai pas été bercé d’illusions connes et que la rupture n’a donc pas eu lieu entre mon enfance innocente et ma vie adulte morne et sans justification.

  3. C’est comme ça que l’idéalisme commence : en racontant des mensonges que le p’tit enfant prend pour réalité.

    1. Ce n’est pas à cause de ça que je suis anar.

  4. Putain, c’est vraiment un choc ce soir! J’étais convaincu qu’il existait pour de vrai!

    La seule chose qui est dommage, c’est que les banques soient réelles.

    1. Je n’ai rien contre les banques personnellement (sauf évidemment que les banques sont des merdes dans le système capitaliste, on s’entend!). J’en ai plutôt contre les banques centrales, les corporations, les bourses publiques, le capitalisme, le profit, la propriété infinie dans le temps…

    2. « La seule chose qui est dommage, c’est que les banques soient réelles. »

      Il faut ABOLIR les banques?

      🙂

      1. Il faut aussi ABOLIR le profit ?

        🙂

        Ah les anarchistes, si vous n’étiez pas aussi sérieux, cela serait drôle…

        1. Et ABOLISSONS les bourses publiques ?

          🙂

          Sérieux, ce que vous haïssez, ce sont les injustices et l’exploitation…

          Mais ce que vous voulez abolir n’est PAS à la source ces injustices et exploitations.

          Et je comprends pas qu’aucun anarchiste n’arrive à voir ça…

          Avez-vous essayez la passiflore et la camomille? C’est mervielleux.

          1. J’ai accroché le bouton envoyer:

            « Avez-vous essayés la passiflore et la camomille? C’est merveilleux. »

            ***

            Sérieux, c’est un peu comme internet, on trouve de tout, du bon comme du mauvais.

            La propriété privée détenue par des HUMAINS (et non pas des entités amorales), et SANS la présence de la fausse monnaie monopolistique = une monde quasi égalitaire.

            1. SVP, ME RÉPONDRE EN BAS COMPLÈTEMENT.

    1. « il est possible d’être attaché à notre héritage culturel (langue, foi, histoire, etc), sans être un nationaliste-socialiste.

      Tout à fait, je n’ai jamais dit le contraire. Mais on ne peut pas être un nationaleux québécois sans être un séparatiste.

      « De 2, vouloir abolir quelque chose (et les anarchistes -comme vous- ADORENT ce mot), est contraire au respect de la liberté individuelle. »

      Abolir…je vais y revenir. Peut-être devrions-nous dire « s’affranchir ». Mais ça dépend de quoi il est question.

  5. Ah la sémantique:

    « nationaleux -non-socialiste et non séparatiste- québécois »

    Nationaliste

    Patriote

    etc…

    … attaché à notre héritage culturel (langue, foi, histoire, etc)…

    ça existe pas mal plus que vous pensez, d’où la 3e voie de M. Bernier.

    ***

    « Abolir…je vais y revenir. Peut-être devrions-nous dire “s’affranchir”. Mais ça dépend de quoi il est question. »

    Haha, encore de la sémantique?
    J’ai hâte de lire ça.

    p.s.
    Pourquoi les anarchistes ne réalisent pas que la liberté ne peut pas exister si on ‘aboli’ quelque chose. Et Dieu sait que vous aimez ce mot. 🙂

    C’est le contraire qu’il faut faire ! En tout cas, j’attends votre réponse…

    1. Il n’y a pas de nationalisme québécois sans appui au projet séparatiste. Ce qu’ils proposent, c’est du « nationalisme cacanadian décentralisé », et c’est impossible au Cacanada. Il peut y avoir un appui au séparatisme sans nationalisme, cependant.

      Ce qu’ils proposent peut aussi être considéré comme du Duplessisme. Démagogique, vous croyez? Voyons voir ce Johanne Macrotte en pense, elle qui l’a reconnu dernièrement!

      « Peut-être même que l’on écrira un jour que sur les 400 d’histoire du Québec, les 40 dernières années n’auront été qu’un malheureux écart de conduite. »

      Cliquer pour accéder à RLQDiscoursIntro.pdf

      En ce qui concerne le terme « abolition », ça mérite plus d’explication de ma part, je sais. Mais au fait, vous n’êtes pas contre l’abolition du CRTC, par exemple? De plus, il est normal pour un anar de souhaiter l’abolition de l’État. Ceci dit, peut-être devrions-nous dire « affranchissement »…

      1. « En ce qui concerne le terme “abolition”, ça mérite plus d’explication de ma part, je sais. Mais au fait, vous n’êtes pas contre l’abolition du CRTC »

        Ah… je suis pour la liberté des ondes. 🙂

        Sérieux, abolir une patente bureaucratique, ce n’est pas la même chose que de vouloir abolir une abstraction ou le principe de la propriété privée. Le premier ne demande pas PLUS d’état ou PLUS de coercition, tandis que les 2 autres exemples, demandent un état totalitaire ou une action totalitaire pour pouvoir s’appliquer.

        Question cruciale:

        Savez-vous pourquoi il y a concentration de richesse ou concentration de la propriété privée? Et oui, c’est mon obsession qui reprend le dessus. Ma camomille ne fait plus effet. 😉 Mais que voulez-vous, AUCUN anarchiste ose en parler ou y réfléchir. Surtout pas le « Pape » des anarchistes Québécois et j’ai nommé Normand Baillargeon…

        ***

        « Il n’y a pas de nationalisme québécois sans appui au projet séparatiste. Ce qu’ils proposent, c’est du “nationalisme cacanadian décentralisé »

        Sémantique encore?
        Si je suis pour le respect de notre « héritage », suis-je nationaliste? Comment appelez-vous ça d’abord? Un CONservateur? 🙂

        Et j’aime bien la 3e voie de Bernier.

        ***

        « Ce qu’ils proposent peut aussi être considéré comme du Duplessisme. Démagogique, vous croyez? Voyons voir ce Johanne Macrotte en pense, elle qui l’a reconnu dernièrement! »

        Johanne Macrotte a dit quoi exactement? Citation svp.

        ***

        « En ce qui concerne le terme “abolition”, ça mérite plus d’explication de ma part, je sais.  »

        J’attends… tout en tapant du pied. 😉

    2. Les anarchistes sont contre la liberté d’écraser et d’exploiter autrui, car ce faisant, vous brimez les droits des autres et leur liberté.

      Vous n’avez rien compris, en résumé.

      1. Lorsque je lis les anarchistes, le mot abolition revient plus souvent que le mot liberté.

        Je ne comprends pas que nous opuyissions être pour la liberté, tout en voulant brimer certaines de ces libertés…

        Certaines libertés sont bonnes et d’autres pas?

        ***

        « Vous n’avez rien compris, en résumé. »

        Effectivement.

        J’essaye pourtant.

        Je lis les anarchistes depuis des années, je ne comprends toujours pas. Ça doit être la passiflore qui rend con…
        🙂

        1. « opuyissions » = repousses d’une plante d’opium…

          Sérieux:

          « Je ne comprends pas que nous puissions… »

  6. Je m’adressais à Sébas ici, au cas où ce n’était pas clair.

    1. Arrête les euphémismes. Tu t’adressais à un réactionnaire incapable de raisonner plus loin que son mot fétiche : « liberté ».

      1. Je tentais de faire preuve de tact et de diplomatie, mais dans son ca, ça me semble inutile.

        C’est le genre de gars qui ne comprend pas pourquoi on s’opposerait à sa «liberté» d’exploiter son locataire ou son employé. Il ne voit que sa «liberté», pas celle des autres. Ce n’est même pas de la liberté, c’est de l’autoritarisme et de la tyrannie. Mais il ne faut pas la dénoncer, tout le monde a le droit de faire ce qu’il veut! Et pourquoi pas posséder un esclave tant quà y être? Ce que nous sommes en fait, juste qu’on doive s’entretenir nous mêmes et pourvoir à nos besoins. Comme dans le servage (je reprends dans mes mots les propos de Debord ici).

        Vive la pédophilie et le viol collectif. Libartttttttttté!

      2. « réactionnaire »

        Wow!

        L’argument pour les paresseux ?

        Pas capable de débattre?

        ***

        « Qui ne comprend pas pourquoi on s’opposerait à sa «liberté» d’exploiter son locataire ou son employé. Il ne voit que sa «liberté», pas celle des autres. Ce n’est même pas de la liberté, c’est de l’autoritarisme et de la tyrannie. »

        Et c’est pour ça que j’ai écrit:

        « La propriété privée détenue par des HUMAINS (et non pas des entités amorales), et SANS la présence de la fausse monnaie monopolistique = une monde quasi égalitaire. »

        Et

        « Sérieux, ce que vous haïssez, ce sont les injustices et l’exploitation…

        Mais ce que vous voulez abolir n’est PAS à la source ces injustices et exploitations. »

        Et surtout:

        « Question cruciale:

        Savez-vous pourquoi il y a concentration de richesse ou concentration de la propriété privée? Et oui, c’est mon obsession qui reprend le dessus. Ma camomille ne fait plus effet. 😉 Mais que voulez-vous, AUCUN anarchiste ose en parler ou y réfléchir. Surtout pas le “Pape” des anarchistes Québécois et j’ai nommé Normand Baillargeon… »

        Maintenant, ne réagissez pas comme des automates et DISCUTEZ, bonyenne.

        🙂

      3. Euh… C’est parce que les idées de Baillargeon sont vraiment contestées au Québec par les anars. Baillargeon est d’ailleurs actuellement à l’étranger, où il est bien plus apprécié qu’ici.

        1. En effet!

          Et malgré mes propres critiques à son endroit, il a fait de très bonnes choses! Si Baillargeon n’était pas là, je n’aurais créé ce blogue!

  7. En passant, liberté ne veut pas la liberté d’agresser ‘son voisin’. (et cela comprends l’interdiction de VOLER son bien)

    C’est la base du libertarianisme.

    Je sais que vous les savez, mais jouer aux démagogues, c’est la spécialité de ceux qui n’ont pas d’arguments.

    Et presque tous les anarchistes sont prêts à agresser ‘leur voisin’, pour mettre en application leur monde d’abolitions, oups, leur monde de liberté…

    ***

    « Et pourquoi pas posséder un esclave tant quà y être? Ce que nous sommes en fait, juste qu’on doive s’entretenir nous mêmes et pourvoir à nos besoins. Comme dans le servage (je reprends dans mes mots les propos de Debord ici).

    Vive la pédophilie et le viol collectif. Libartttttttttté! »

    ***

    Très drôle, mais très simpliste et enfantin.

    Lâchez pas… vos « arguments » sont la preuve que vous n’avez pas de logique (pour l’instant en tout cas).

  8. «Mais ce que vous voulez abolir n’est PAS à la source de ces injustices et exploitations.» Qu’est-ce qui serait à la source de ces injsuctices et exploitations? Éclairez nos lanternes, diantre!

    Vous trouvez mes propos enfantins mais vous avez mis la barre du débat bien basse, ce qui fait que je n’avais pas vraiment envie de discuter avec vous. Je sais aussi que je perd mon temps présentement, mais j’ai du temps à perdre (c’est surtout que je procrastine), alors pourquoi pas? Et puis vous vous défendez plutôt mal. Vous n’avez pas remis en question que l’être humain puisse être dans une position qui s’apparente au servage dans le monde contemporain et qu’il y a un certain mérite, si ce n’est pas une nécessité à s’y opposer.

    Une liberté sans bornes mène à des abus sans noms et vous devriez le savoir. D’où l’exemple de la pédophilie et du viol collectif. Je cherche en effet à brimer la «liberté» du pédophile et des violeurs. Désolé de ne pas être plus ouvert d’esrprit et tolérant. Les capitalistes ne sont pas plus en droit que les violeurs et les pédophiles, même chose que les gouvernements et l’État. Je ne consens pas à la relation, pas plus que l’enfant ou la femme violée. On me brime, on m’abuse. Et en plus, on dit que je le fais en étant pleinement conssentant, ce qui est faux. Je n’ai pas signé le contrat social de Rousseau, je me torche avec quotidiennement.

    «Certaines libertés sont bonnes et d’autres pas?»

    C’est ce que je tente de vous dire, oui. La liberté sans l’égalité et la justice ne fait aucun sens. Elle mène au despotisme. Un société ne peut être fondée sur une seule valeur,car elle sera pervertie et cette valeur perdra tout son sens. La même chose s’est produite dans les sociétés socialistes (certains diront qu’elles ne l’étaient pas, mais alors ils devraient peut-être relire Marx et Bakounine, ce dernier ayant en gros prédit ce qui allait se passer avec la «dicature du prolétariat»), mais au nom de l’égalité.

    Si dans la socité socialiste (ou prétenduement socialiste), certains sont plus égaux que d’autres (Orwell), dans la société capitaliste, certains sont plus libres que d’autres. Surtout que la liberté des uns reposent sur l’esclavage des autres.

    C’est ce que vous ne pouvez pas voir, ou ne voulez pas voir. À moins que vous êtes au courant et choississez de le nier en faisant le fanfaron, ce qui est pire.

    1. -La condescendance remplace plusieurs arguments

      -Vous ne savez pas lire.

      -Vous ne semblez pas connaitre les principes du libertarianisme (surtout celui de la non-agression).

      – Et surtout, vous ne répondez à aucun de mes arguments ou questions, directement.

      Les anarchistes peuvent bien être « mal compris »…

      😉

  9. Injustices et non pas «injsuctices», mais je crois que la faute de frappe était évidente.

    De toute manière c’est de votre faute, j’ai ajouté un de pour vous dans la citation, ce qui m’a momentanément déconcentré.

  10. Ah, je viens de voir ce commentaire:

    « Qu’est-ce qui serait à la source de ces injustices et exploitations? Éclairez nos lanternes, diantre! »

    Réponse:

    “La propriété privée détenue par des HUMAINS (et non pas des entités amorales), et SANS la présence de la fausse monnaie monopolistique = une monde quasi égalitaire.”

    Rajoutez à ça une démocratie directe et locale, une milice défensive, etc. et vous avez le « monde » que vous désirez, SANS abolir un tas de trucs.
    🙂

    1. Vous êtes essentiellement passé à côté de mon argumentaire, mais je ne crois pas que vous seriez en mesure de me contredire et c’est ce pourquoi vous ne le faites pas. Mais bon je suis habitué pour avoir tenté de relancer Anne Archet sur certaines de ses idées (bien que je doive admettre qu’elle ait répondu par rapport à certains points, quelques fois).

      Non seulement je vous ai lu, mais je vous ai cité.

      Je n’ai rien contre la possession, mais si le proprio a des locataires, je décroche. Le logement est un droit, pas un privilège ou un moyen de faire du $ sur le dos de quelq’un d’autre. Pour ce qui est des entreprises, l’employé n’y est qu’un pion. Bref, possession et propriété privée, ce n’est pas la même chose.

      «La propriété privée détenue par des HUMAINS (et non pas des entités amorales)» Ce n’est pas clair et ce n’est pas une vision d’un système économique à proprement parlé.

      «SANS la présence de la fausse monnaie monopolistique = une monde quasi égalitaire» Vous êtes contre l’argent où le fait que l’État imprime l’argent? Le passage n’est pas clair et je ne vois pas ce que vous avez dit qui garantisse une société égalitaire. La société est trop complexe pour qu’on abolisse l’argent et le problème n’est pas dans l’argent en soit, mais dans le mode de production et de rénumération.

      Je suis pour une forme de démocratie directe, mais elle reste à définir et à débattre. Moins certain pour la milice, surtout si vous voulez qu’elle protège les frontières qui devront tomber avec l’État. Et puis l’autoritarisme n’est jamais loin.

      Cela dit je suis pour certaines règles de conduites, si elles émergent d’une démocratie directe et participative. Le débat sur comment les faire respecter mérite d’être fait, mais les anarchistes ne veulent pas aborder la question, la jugeant obsolète ou dans un avenir trop lointain.

      Je crois plus à une sollution collective face aux fouteurs de troubles, ce qui ne veut pas dire qu’il y aurait une milice pour autant.

      Mais peu importe la solution avancée, elle devra passer et être approuvée par un processus qui soit réellement démocratique et non pas la farce qu’on nous élaborée.

  11. p.s.

    Je disais donc:

    « -Vous ne savez pas lire. »

    Et moi non-plus… mea-culpa
    🙂

  12. Tout cette discussion parce que le Père Noël n’existe pas…
    Bordel…

  13. @Sébas

    Ok, quelques commentaires. Commençons par les deux suivants et je reviens.

    Je n’ai jamais dit qu’une entité hiérarchique devait abolir les banques, la propriété privée (je suis en faveur de la possession, par contre) et le profit mais en tant qu’anarchiste, je propose qu’on s’affranchisse du profit et de la propriété et je n’ai absolument rien contre le concept d’une banque (sauf dans notre système capitaliste actuel).

    Johanne Macrotte a dit ceci:

    “Peut-être même que l’on écrira un jour que sur les 400 d’histoire du Québec, les 40 dernières années n’auront été qu’un malheureux écart de conduite.”

    Cliquer pour accéder à RLQDiscoursIntro.pdf

  14. « Et ABOLISSONS les bourses publiques ? »

    Sans État, il ne pourrait pas y avoir de bourses publiques comme présentement. Alors, je ne vois pas de problème à dire que ce serait aboli. Mais bon, affranchissons-nous des bourses publiques!

    « Sérieux, ce que vous haïssez, ce sont les injustices et l’exploitation… »

    Alors, le profit et les bourses publiques sont en partie responsables des injustices et de l’exploitation.

    « Ah… je suis pour la liberté des ondes.  »

    On s’entend là-dessus. Donc l’État peut très abolir le CRTC sans brimer de libertés individuelles, bien au contraire!

    « ce n’est pas la même chose que de vouloir abolir une abstraction ou le principe de la propriété privée. Le premier ne demande pas PLUS d’état ou PLUS de coercition, tandis que les 2 autres exemples, demandent un état totalitaire ou une action totalitaire pour pouvoir s’appliquer. »

    Et de quelle façon va-t-on faire respecter la propriété privée infinie dans le temps? De plus, je n’ai jamais dit qu’une entité hiérarchique devait abolir le profit.

    « La propriété privée détenue par des HUMAINS (et non pas des entités amorales), et SANS la présence de la fausse monnaie monopolistique = une monde quasi égalitaire. »

    Ce serait moins déjà mieux comme ça, en effet!

    « Savez-vous pourquoi il y a concentration de richesse ou concentration de la propriété privée?  »

    En raison de l’existence des hiérarchies de pouvoir, entre autres!

    « Sémantique encore?
    Si je suis pour le respect de notre “héritage”, suis-je nationaliste? Comment appelez-vous ça d’abord? Un CONservateur?  »

    Ça dépend de quelle partie de l’héritage culturel tu parles! De plus, on peut très bien parler d’attachement culturel sans parler de nationalisme.

    « Je ne comprends pas que nous puissions être pour la liberté, tout en voulant brimer certaines de ces libertés »

    Ça ne fait pas partie de mon discours. Je n’ai rien à voir avec ça!

  15. Yves Brouckaert

    Sébas,

    moi aussi je soutiens l’existence de Saint Nicolas, cela fait tellement plaisir aux enfants, et à nous aussi qui voudrions y croire toujours;
    le sentiment que j’éprouve à ce propos, c’est cette chaude sécurité, la joie et le bonheur.

    De la même manière, je leur sussure que Dieu n’existe pas et que ceux qui voudraient leur donner à croire en cette fadaise n’ont pas le moindre début de preuve à apporter.

    Je préfère de loin leur donner à croire au Père Noël (qui représenterait, disons nos qualités), qu’à la « Justice » dans laquelle nous baignons tous du fait de la magnanimité de l' »Etat », entité supérieure qui existe elle, bel et bien, de même les « chiens porteurs de casquette » qui nous assignent en son nom.

    Mais il se fait que la justice ne se qualifie pas avec des « idées », des « mots », même triés sur le volet et qu’il me semble difficile de tracer quelque part une ligne bien claire à ce propos.

    Une seule certitude : l’injustice est la conséquence de la farce qu’est la « Justice ».

    L’état ne repose que sur des farces, ou des mensonges ou des forfaitures ou encore sur la duplicité de votre voix que vous jetez futilement dans l’urne, tandis que les « braves » qui nous gouvernent s’écrient « Ah! Les braves gens! ».

    Moi, je crois toujours au Père Noël, et ce papa-là c’est l’anarchie!

    J’imagine un monde dans lequel aucun diktat ne pourrait plus m’être jeté avec mépris, dans lequel je pourrais avec mes amis anarchistes (avec qui je ne partage au fond que peu de choses, sinon des amitiés de hasard qui s’affirment de jour en jour), mettre au-dessus de tout le principe LIBERTE, et, si d’aventure, le commun des mortels se mettait en tête de l’exiger, tout pourrait devenir différent, car il est bien certain que nos convictions ne s’établiront jamais en brimant si peu que ce soit, la liberté des autres, tant qu’elle respecte la nôtre.

    Il faut bien sûr que, dans le concert des discussions, les minorités le plus infimes soient prises en compte et respectées.

    Pour en finir avec « Le Père Noël n’existe pas », je dirais simplement que si nous pouvions nous entendre sur l’essentiel, en faire un lien imputrescible, démonter toutes formes d’esclavage, rendre à l’homme et à la femme la position DEBOUT et sans entraves, on pourrait ABOLIR toutes les Autorités de Droit divin, de Droit scientifique, de Droit de la richesse, Faussement démocratiques, etc. etc.(je te laisse compléter Sébas), nous pourrions alors une à une abolir les frontières et les droits dits du sol et du sang.

    Et chanter « Les filles de Camaret »!

    C’est vrai qu’il manque des femmes dans tes commentateurs, David.
    Ce n’est pas une critique, mais un simple constat.

    Yves

    1. « Je préfère de loin leur donner à croire au Père Noël (qui représenterait, disons nos qualités), qu’à la “Justice” dans laquelle nous baignons tous du fait de la magnanimité de l’”Etat”, entité supérieure qui existe elle, bel et bien, de même les “chiens porteurs de casquette” qui nous assignent en son nom. »

      En effet!

      Excellent commentaire pour le reste! 🙂

      « C’est vrai qu’il manque des femmes dans tes commentateurs, David. »

      Malheureusement! 😦

      Mais bon, les rares qui commentent sont excellentes! 🙂

  16. Yves Brouckaert

    essai

    1. Merci pour ton commentaire chez MFL! 🙂

  17. Yves Brouckaert

    Bakouchaïev,

    Cette « mise à nu » m’en rappelle d’autres. Simplement, d’une part je comprends sans doute pourquoi mes anomalies d’ordre psy m’ont mené vers vous.
    Je comprends maintenant ces réticences à te livrer complètement dans tes argumentaires.
    Pas toujours d’accord avec moi-même, je retrouve dans tes billets, dans tes commentaires, une somme magistrale de paroles de bon sens, avec un grand respect pour les « autres ».

    Bon courage,

    Yves

  18. Yves Brouckaert

    David,

    j’ai posté ce texte chez toi, car je ne parvenais pas à l’envoyer à Bakouchaïev
    Peux – tu transférer tout cela ?

    Merci

  19. Yves Brouckaert

    anarhilisme : A la dérive.

    Merci david

    yves

    1. Merci! 🙂 J’aurais dû m’en douter!

  20. J’ai déjà discuter avec un libertarien qui s’opposaient a toute democratie.
    Il disaient que la democratie opprime les individus…

    Personnellement j’aime bien l’idée de la democratie direct.

    Les milices ont été suggéré pour remplace la police, mais qui va payer cette milice?
    Et ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas payer seront-ils protégé aussi par cette milice?

    Pour les banques, sans banque central, les banques produisent leur propre argent. Dans ce cas comment s’assurer que cette argent soit valide et accepter par tout les commerçants si ils n’ont aucune garantit de la valeur de cette argent?
    Il y a bien l’étalon d’or, mais dans ce cas comment s’assurer que tout le monde aient accès a une banque qui offre cette étalon?

    Pour ce qui est du père noël, je dirais plutôt qu’il n’y a aucune preuve de son existence. Puisque l’on ne peut prouve qu’une chose n’existe pas.

    Ce qui ne l’empêche pas d’avoir sa base secrète sur la face cache de la lune 😉

    1. Bienvenue ici! 🙂

      « J’ai déjà discuter avec un libertarien qui s’opposaient a toute democratie.
      Il disaient que la democratie opprime les individus…

      Personnellement j’aime bien l’idée de la democratie direct. »

      À mon avis, des consensus à la plus petite échelle possible constituent la seule forme d’organisation viable d’un point de vue anarchiste.

      « Les milices ont été suggéré pour remplace la police, mais qui va payer cette milice?
      Et ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas payer seront-ils protégé aussi par cette milice? »

      La question se pose mais vous oubliez que la légitime défense sera permise. De plus, il n’y aura de répression des non-crimes dans une anarchie et tous les moyens seront disponibles pour combattre les vrais crimes.

      « Pour les banques, sans banque central, les banques produisent leur propre argent. Dans ce cas comment s’assurer que cette argent soit valide et accepter par tout les commerçants si ils n’ont aucune garantit de la valeur de cette argent? »

      Je ne vois pas en quoi cela serait nécessaire.

      « Il y a bien l’étalon d’or, mais dans ce cas comment s’assurer que tout le monde aient accès a une banque qui offre cette étalon? »

      L’or ne serait pas le seul étalon. Aussi, il y a le troc et les échanges de services. Quand je parle de marché libre, c’est aussi (et peut-être surtout) à propos des échanges non-monétaires!

      En ce qui concerne LES Pères Noël, ils existent par milliers! 😉

      1. « À mon avis, des consensus à la plus petite échelle possible constituent la seule forme d’organisation viable d’un point de vue anarchiste. »

        Faudra tout de même une organisation plus globale.
        Comme dans le cas des chemin de fer par exemple il faut une certaine coordination/communication pour ne pas se ramassé avec des traques qui finissent dans le vide.

        « La question se pose mais vous oubliez que la légitime défense sera permise. De plus, il n’y aura de répression des non-crimes dans une anarchie et tous les moyens seront disponibles pour combattre les vrais crimes. »

        Mais quelqu’un pourrait de très riche pourrait se payer une armée privé « pour se protéger », et un jour s’en servir pour attaqué et prendre le pouvoir et là tout sera à recommencer.
        Et même si il ne réussi pas cela aura causé plusieurs mort.

  21. « comment s’assurer que cette argent soit valide et accepter par tout les commerçants si ils n’ont aucune garantit de la valeur de cette argent? »

    La liberté, c’est aussi être libre de refuser une monnaie, contrairement au contexte actuel de cours légal.

    « Je n’ai rien contre la possession, mais si le proprio a des locataires, je décroche. Le logement est un droit, pas un privilège ou un moyen de faire du $ sur le dos de quelq’un d’autre. »

    Je fais des efforts mais c’est difficile de prendre les anarchistes au sérieux avec de tels commentaires. Si A habite sous un toit qui a été construit par B, contre 100 tomates par mois, A « exploite » B en tant que travailleur et B « exploite » A en tant que locataire. Et ça prend un anarchiste pour me dire que cette « exploitation » est un droit pas un privilège. Euh…

    1. J’ai des doutes que B ait bâtie ce logement avec ses mains. Puis la position du locataire est semblable à celle du travailleur qui vend sa force de travail sur le marché du labeur. Il n’a pas vraiment le choix. Le proprio cherche a rentabiliser son investissement initial et a faire du profit, même chose que le capitaliste avec son retour sur son capital.

      Désolé de trouver aberrant le phénomène de l’itinérance, des enfants qui vont le ventre vide à l’école et des banques alimentaires.

      Il y a des choses plus importante que de faire du $ dans la vie et j’ai choisi la coopération au dépend de la compétition il y a longtemps. Si on doit affamer son frère ou sa soeur pour être sur le dessus, je vous laisse le dessus.

      Et puis quant à votre incompréhension de l’anarchie, vous n’êtes pas le seul et c’est bien pour cette raison que tout va mal dans le monde.

    2. « J’ai des doutes que B ait bâtie ce logement avec ses mains. »

      Admettons que C ait bâti ce logement avec ses mains, et que B lui ait acheté avec l’épargne de son propre travail. Qu’est-ce que ça change?

      Moi aussi je trouve aberrant le phénomène de l’itinérance, des enfants qui vont le ventre vide à l’école et des banques alimentaires. C’est pourquoi je lutte avec vous contre le système de privilèges qui bloque les opportunités de certains.

      La question est de savoir si, dans votre monde idéal, vous utiliserez la violence pour continuellement redistribuer les ressources des prévoyants vers les imprévoyants. J’ai plusieurs objections éthiques et économiques à cela, mais les anarchistes ne répondent jamais clairement. Oui ou non?

      « j’ai choisi la coopération au dépend de la compétition il y a longtemps »

      Il n’y a pas de « compétition » dans ce que les libertariens proposent, seulement de la concurrence. Si vous n’arrivez pas à servir vos clients aussi bien que votre concurrent, cela n’a rien à voir avec le fait qu’il puisse être plus gros que vous, mais plutôt qu’il est plus attentif et réputable que vous. (Contrairement au monde actuel, où les petits croulent sous la paperasse.)

    3. « La liberté, c’est aussi être libre de refuser une monnaie, contrairement au contexte actuel de cours légal. »

      Ça créerait quelque problèmes:
      – si la banque qui imprime notre argent ferme notre argent ne vaut plus rien
      – on n’a pas la garantie que l’argent gagné aura la moindre valeur au moment de l’utilisé.
      – il pourrait se créer deux systèmes économiques parallèles se développe avec une monnaie pour les pauvres et une monnaie pour les riches.
      – les commerçants n’accepteront probablement que certaine devise(une,deux ou trois) pour simplifier les échanges, ce qui va probablement déboucher sur monopole ou au mieux un oligopole.

      Ceci dis je ne suis pas contre un changement de système monétaire.

      1. – si la banque qui imprime notre argent ferme notre argent ne vaut plus rien

        Cela instaurerait une saine méfiance envers les banques, ce qui manque cruellement présentement

        – on n’a pas la garantie que l’argent gagné aura la moindre valeur au moment de l’utilisé.

        Nous avons déjà ce problème avec la monnaie des états

        – il pourrait se créer deux systèmes économiques parallèles se développe avec une monnaie pour les pauvres et une monnaie pour les riches.

        Je n’en suis pas convaincu, mais si c’était le cas, pourquoi cela nuirait-il aux pauvres?

        – les commerçants n’accepteront probablement que certaine devise(une,deux ou trois) pour simplifier les échanges, ce qui va probablement déboucher sur monopole ou au mieux un oligopole.

        Ça risque surtout de déboucher sur un étalon-or, mais peu importe. Chaque monnaie serait acceptée avec ou sans escompte. Par exemple je peux tondre votre pelouse conte $10 ou $11 Canadian Tire, car pour moi l’argent Canadian Tire est plus compliqué à utiliser.

        1. « Cela instaurerait une saine méfiance envers les banques, ce qui manque cruellement présentement »

          Ça risquerait pas de tourner en paranoïa généralisé avec des faillites en séries?

          « Nous avons déjà ce problème avec la monnaie des états »

          avec un risque beaucoup moins important tout de même.

          « Je n’en suis pas convaincu, mais si c’était le cas, pourquoi cela nuirait-il aux pauvres? »

          Bien par exemple il pourrait y avoir des biens et services disponible seulement avec une monnaie ce qui causerait une ségrégation social.

          « Ça risque surtout de déboucher sur un étalon-or, mais peu importe. Chaque monnaie serait acceptée avec ou sans escompte. Par exemple je peux tondre votre pelouse conte $10 ou $11 Canadian Tire, car pour moi l’argent Canadian Tire est plus compliqué à utiliser. »

          oui tu imagines avec 10, 20 ou 100 monnaies différentes, donc autant de taux de change?
          Bien sure il y a l’étalon or, mais l’étalon-or pause d’autre problèmes:

          – certains individu pourraient volontairement influencer la valeur de l’or à la baisse dans le but de créer une panique générale et racheter en suite à bas pris, etc

          – comment s’assurer que les banques garderont une réserve d’or suffisante, si elles décident de garder cette information privé?

          1. « Ça risquerait pas de tourner en paranoïa généralisé avec des faillites en séries? »

            Si les banques sont effectivement en faillite, oui. Mais ce n’est pas très sain non plus de se lancer une telle patate chaude. L’idée est justement d’avoir des banques solvables (ce qui n’a pourtant rien d’extraordinaire!) grâce à la méfiance. Par ailleurs, il faut aussi comprendre l’effet sur les réserves fractionnaires.

            « avec un risque beaucoup moins important tout de même. »

            Selon cette logique, l’état devrait absorber tous les risques, et il ne resterait plus qu’un seul risque, la faillite de l’état.

            « Bien par exemple il pourrait y avoir des biens et services disponible seulement avec une monnaie ce qui causerait une ségrégation social. »

            Je ne vois pas trop ce qui empêcherait d’utiliser un bureau de change pour contourner cette ségrégation. Pas besoin de monnaie exclusive pour causer une ségrégation, il suffit d’un doorman.

            « oui tu imagines avec 10, 20 ou 100 monnaies différentes »

            Nous avons déjà 100 monnaies. C’est juste qu’elles sont réparties géographiquement plutôt que pour réellement combler la demande. Si l’uniformité est demandée, quelqu’un pensera à l’offrir.

            – certains individu pourraient volontairement influencer la valeur de l’or à la baisse dans le but de créer une panique générale et racheter en suite à bas pris, etc

            c’est le problème de toutes les monnaies et l’or est justement le moins pire. Lorsqu’il y a une banque centrale, la richesse est transférée vers ceux qui ont l’opportunité de « front-run »

            – comment s’assurer que les banques garderont une réserve d’or suffisante, si elles décident de garder cette information privé? »

            Avec une assurance-dépôt privée et/ou la même saine méfiance

            Plus généralement, vous devez comprendre qu’on ne peut pas régler un problème en l’instutionalisant. Réglementer les banques, ça ne fait que créer une barrière à l’entrée, créer des opportunités d’arbitrage, de spéculation inutile, et ultimement ne fait que remplacer un grand nombre de petites crises par un petit nombre de grandes crises.

  22. Yves Brouckaert

    Monsieur Bastiat 79,

    je suppose que vous devez avoir extrême mauvaise conscience que vous vous affubliez d’un Pseudo.

    Vos discours, vos « argumentaires spécieux » sont farfelus.

    Qu’est-ce qui importe ? Que l’on puisse sans aucun doute possible me définir et définir David et définir BaKouchaïev ?

    Et vous, comment vous définissez-vous ? Je suis impatient de savoir.

    Ce qui m’importe à moi comme à eux, c’est la situation présente de ces « itinérants, de ces enfants qui vont le matin à l’école le ventre creux », etc.

    Pour ceux-là, il est bien évident que le système actuel d’exploitation des masses doit prendre fin.

    Il suffirait de peu, pour, avec tous les démunis de toute chose, faire éclater par le haut la pyramide dite « sociale ».

    J’appelle de tous mes voeux cet éclatement qui mettrait en fin de compte, tout le monde sur pied d’égalité et observer alors à quelle place vous vous trouverez, serez-vous seulement capables de subvenir à vos besoins ?

    Il est vrai que, pansus, vous devez avoir un fameux volume à combler chaque jour.

    Mais comme mesure immédiate, je presrirais à ceux qui n’ont pas le nécessaire, d’envahir et de s’approprier tous les logements non occupés depuis plus de trois mois; d’aller faire leurs courses alimentaires et de faire envoyer la facture à la mairie.

    Il ne faut pas vous faire d’illusions : votre mode de vie ne tardera pas à être balayé par la prochaine crise financière aux USA et dans le monde. Les économies continueront à se déliter, et puis un jour tout se précipitera.

    Cordialement,

    Yves.

    1. Cher ami,

      J’ai très bonne conscience et je suis confiant de très bien tirer mon épingle du jeu de n’importe quelle crise, contrairement à ces «itinérants et enfants qui vont le matin à l’école le ventre creux» qui sont toujours les premiers sacrifiés quand on « teste » des idées du genre des vôtres, c’est-à-dire qui ne résistent pas à l’analyse économique.

      David, Bakouchaïev et vous ne détenez pas le monopole de la vertu et je ne vous signerai pas de chèque en blanc si vous ne voulez pas m’expliquer quel usage vous voulez faire de la violence. La violence strictement toujours au service des plus faibles, vous y croyez vraiment?

      Je comprends déjà que selon vous ceux qui construisent des logements et ceux qui produisent la nourriture devraient être traités comme des esclaves. Je pense qu’on peut faire mieux, et pas juste du point de vue des riches.

  23. Yves Brouckaert

    « J’ai très bonne conscience et je suis confiant de très bien tirer mon épingle du jeu de n’importe quelle crise, contrairement à ces «itinérants et enfants qui vont le matin à l’école le ventre creux» qui sont toujours les premiers sacrifiés quand on « teste » des idées du genre des vôtres, c’est-à-dire qui ne résistent pas à l’analyse économique ».

    Monsieur, je n’ai pas parlé de violence, j’ai parlé de REVOLTE.

    Et selon vous ces enfants auraient le ventre creux parce qu’ils n’entendent rien aux REALITES POLITIQUES ?

    Bonne continuation, cher bourgeois plein de sufisance.

    Yves

    1. Je dis seulement que vous n’emplirez pas ces ventres en jouant la guerre des classes contre des agriculteurs qui se lèvent déjà bien assez tôt pour traire leurs vaches. La dernière fois que ça a été essayé, les morts se sont comptés par dizaines de millions.

      Je ne suis pas contre la révolte, mais les idées comptent. Je pense qu’il faut discuter rationnellement pour trier les bonnes des mauvaises, sur la base des résultats.

      Mais bon, si pour vous les intentions comptent mais pas les résultats, je devrai vous laisser à votre insuffisance.

      1. @Bastiat79

        Je vous promets que mon prochain billet portera là-dessus.

        1. Mais je ne sais pas quand!

  24. Yves Brouckaert

    Monsieur Spartatux,

    je suis trè heureux d’entendre un ton différent dans votre discours, et sur la base de votre dernière intervention, je pense en effet que l’on devrait pouvoir avoir une discussion moins mouvementée.

    Je ne joue pas le moins du monde à cette guerre. J’ajoute que j’ai été paysan une partie de ma vie.

    Mais il faut cependant admettre avant toute discussion, que le sort des errants, des enfants sans avenir doit être pris en compte, il y va du droit le plus fondamental. Et vous ne me contredirez pas là-dessus, j’espère.
    Ce qu’il faut changer ce sont les conditions par lesquelles cette situation existe et persiste.

    Puisque rien ne bouge, il faut décider de porter au pouvoir des hommes honnêtes qui prendront en compte, en bons pères de famille, la situation des démunis.

    Yves

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