D’abord, un cas de figure. Supposons que l’hôtel X de Matane demandait à la municipalité de Saint-Ulric, un village voisin juste à l’ouest de Matane, d’interdire les gens d’héberger un visiteur (amants, famille, amis, etc.) dans leur maison, vous diriez quoi? Probablement que vous diriez un truc qui ressemble à ceci: « Mais l’hôtel X est complètement fou, il ne faut pas que St-Ulric cède à la pression de ce braillard! »
Alors, croyez-le ou non, un truc tout aussi ridicule est en train RÉELLEMENT de se produire à Matane, dans la région du Bas-Saint-Laurent (presque en Gaspésie), au Québec! Encore une fois, des soi-disant entrepreneurs privés (sic) demandent à l’État de les protéger contre la concurrence! Et c’est ça que les entrepreneurs capitalistes appellent le libre-marché! Non, mais c’est n’importe quoi!
Méfiez-vous de ces entrepreneurs pleurnichards, la réglementation étatique qu’ils réclament protège souvent leurs propres intérêts contre les intérêts de la population! Voici un extrait de cet article:
Une alliance de sept propriétaires de terrains de camping, répartis entre Sainte-Flavie et Sainte-Anne-des-Monts, dénonce le fait que la Ville de Matane ne fasse pas respecter ses règlements de zonage en permettant aux campeurs, depuis plusieurs années, de s’installer dans les stationnements des centres commerciaux et magasins à grande surface. Selon l’instigateur de la mobilisation, Éric Beaudry, qui est propriétaire du Camping au Bord de la Mer de Cap-Chat, la coalition est même prête à aller devant les tribunaux.
Selon M. Beaudry, les propriétaires de campings demeurent sur leur position, même si le maire de Matane, Claude Canuel, qui a interrompu ses vacances pour tenir un point de presse sur le sujet vendredi, s’est montré sensible à la situation. «On est contents de l’ouverture d’esprit de M. Canuel, commente le porte-parole des propriétaires de campings. Mais on est déçu qu’il n’ait pas annoncé de mesures plus concrètes.»
Des discussions ont été entreprises avec Camping Québec, où un représentant de cette association de propriétaires de terrains de camping a été saisi du dossier. Il a d’abord le mandat officiel d’organiser une rencontre entre les propriétaires de campings insatisfaits, la Ville de Matane, le ministère du Tourisme et peut-être même la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ) puisque celle-ci gère un terrain de camping dans la réserve faunique de Matane.
Étapes préalables
Dans un premier temps, l’objectif que s’est fixé Éric Beaudry est de joindre tous les propriétaires de terrains de camping situés entre Rimouski et Rivière-au-Renard. Selon lui, il y en a une bonne douzaine.
Dans un deuxième temps, il demande à chacun d’entre eux d’envoyer une lettre de plainte officielle à la Ville de Matane. La plainte identifie six stationnements situés sur le territoire de la ville de Matane. Il s’agit de ceux des Galeries du Vieux-Port, de la Commission scolaire des Monts-et-Marées, de Place Centre-Ville, de la Promenade du Saint-Laurent, du Bureau d’accueil touristique et du magasin Walmart.
Bande de pleurnichards incapables de gérer leur propre business sans brailler sous la jupe de l’État! Ne pourrait-on pas d’abord combattre ce fléau qu’est le social-capitalisme avant de combattre les programmes sociaux?
bonjour c est vrai ils a des pleurnichars au lieu des inviter ils veulen t les obliger a leurs campings plus souvent loin de la ville dans un champ de vaches.
Si il aurais un depanneur ou cantine pres terrain de jeu piscine balancoire foyer pour faire des feux les beau soir d été ca inviterait peut etre des campeurs d aller a leur camping .
mais non ils veulent les obliger .
Il a deja des campeur qui on changer leur voyage le tour de la gaspesie pour le nouveau brumswick
apres que quelques jeunes on ete faire des petards dans la nuit demander par qui vous croyer é
le maire de «matane devrais leur dire qui a une competition c est a eux de s ajuster.
merci
Merci pour votre commentaire! 🙂