La procréation sert les intérêts de l’État et va à l’encontre de l’intérêt des enfants

Voici une liste incomplète des programmes étatiques qui servent à stimuler le taux de natalité au Culbec, comme si l’avenir de la « race aryenne culbécoise de souche » était en péril s’il y avait trop d’adoptions et d’immigration.

1) Les allocations familiales: ce dont je ne suis pas contre, en principe, puisque cela peut aider réellement les enfants dans le contexte actuel. Cette aide est essentielle pour plusieurs familles. Donc, contrairement aux libertariens, je ne lutterai pas pour leur abolition. De plus, ce programme est le seul qui peut être qualifié de « programme social » dans ma liste!

2) La procréation assistée: maintenant gratuite au Québec (comme si l’adoption ne pouvait pas le remplacer), ce qui tuera d’autres enfants abandonnés qui ne seront pas adoptés de l’étranger et qui contraindra plusieurs autres enfants québécois à demeurer sous le joug de la Direction Pénitencière des Jeunes morveux (DPJ).

3) Les Centres Pénitenciers pour Enfants (CPE): De véritables prisons pour jeunes enfants abandonnés temporairement par leurs parents qui travaillent « to produce for the company » pour se payer la télévision plasma HD de dernier cri, un deuxième char et des bébelles pour acheter la paix à leurs (sic) petits morveux.

4) Le RQAP: Un régime d’assurance étatique (sic) croulant déjà sous les dettes, afin de subventionner des congés parentaux pour ceux qui vont de toute façon faire garder leurs enfants dans les Centres Pénitentiers pour Enfants.

5) Les écoles obligatoires et/ou étatiques, incluant les écoles privées subventionnées: Une prison pour enfants et adolescents formant la prolongation de la sentence purgée dans les Centres Pénitenciers pour Enfants. Un service non-essentiel pour les enfants, dont son caractère obligatoire va à l’encontre de leurs intérêts, mais très utile à la propagande étatique et à la mise en application des hiérarchies de pouvoir inhérentes à la parentalité. Même dans le cas des écoles non-subventionnées, leur caractère obligatoire les rend inacceptables et liberticides pour les enfants. ATTENTION, JE N’AI JAMAIS DIT QUE L’ACQUISITION DE CONNAISSANCES ET LE DÉVELOPPEMENT DE LA PENSÉE CRITIQUE N’ÉTAIENT PAS PERTINENTES POUR LES ENFANTS, BIEN AU CONTRAIRE, C’EST LE CARACTÈRE OBLIGATOIRE ET ÉTATIQUE DE L’ÉCOLE QUE JE COMBATS!

Cette litanie de programmes étatiques visant à stimuler le taux de natalité, dont quatre sur ces cinq vont clairement à l’encontre de l’intérêt des enfants, nous démontre à quel point la procréation sert les intérêts de l’État au dépens de l’intérêt des enfants. De plus, l’abolition des programmes 2) à 5) constitueraient un plan d’austérité financière plus ambitieux que tout ce qui a été proposé jusqu’à présent, afin d’équilibrer les finances publiques de l’État Culbécois. Qui a dit que ça prenait à tout prix un conservateur fiscal pour proposer un plan sérieux d’austérité financière? 😉

Plus que jamais, nous détenons des arguments qui nous permettent de conclure que la procréation est immorale et est invalide d’un point de vue anarchiste, en partie parce celle-ci sert les intérêts de l’État et va à l’encontre de l’intérêt des enfants. Il est temps que les libertariens et d’autres anarchistes que François Tremblay, Bakouchaïev et moi s’en rendent compte!

30 Réponses

  1. Pour le point numéro 5 êtes vous en train de dire que l’école ne devrait pas être obligatoire ou c’est moi qui a mal compris?

    1. Vous avez bien compris. L’école ne devrait pas être obligatoire. Je ne dis pas que l’acquisition des connaissances et le développement de la pensée critique sont inutiles, cependant.

      Bienvenue ici! 🙂

      1. Qu’est-ce que vous proposez alors? Quand j’avais 8 ans si l’école n’était pas obligatoire l’éducation des jeunes (et j’en fais parti) serait encore plus pitoyable (certains cours n’ont définitivement pas leur place a l’école du tout par contre… *cough*ECR*cough*)

        1. Notez que c’est le seul point avec le quel je ne suis absolument pas d’accord (tant qu’il n’y a rien de mieux) et je ne vois pas ce qu’il y a de mal aux CPE, ils vont faire quoi pendant que leurs parents travaillent les enfants?

          1. Eh bien, ces parents n’ont qu’à moins travailler, ne pas procréer, payer eux-mêmes les frais de gardes, ou les confier à des nouveaux parents.

        2. Je propose une instruction libre pour tous. Et avec Internet, c’est encore plus possible. Voici un aperçu de ce que j’en pense.

          https://anarchopragmatisme.wordpress.com/2009/07/03/il-faut-lutter-contre-lecole-pas-contre-le-decrochage/

          1. Je proposerais l’école obligatoire jusqu’à 14 ans car par expérience, les parasites qui font du temps consciemment ou inconsciemment qui ont entre 14 et 18 ans nuisent grandement à l’apprentissage et au développement des autres sans l’ombre d’un doute.

            Soit ça ou un boot camp pour leur montrer les bonnes manières de vivre en société civilisée. Qu’on les garde captif d’un système à former des cancres nuit grandement à leur véritable développement social qui dans bien des cas se développe beaucoup mieux à l’école de la vie.

            1. Pourquoi pas 13 ans, alors?

  2. Faudrait que je prenne le temps de relire ton billet, mais en gros, c’est ridicule d’en venir à la fécondation in vitro assité par l’État et ce au dépend de l’adoption, selon moi beaucoup plus acceptable. La planète est surpeuplée, principalement au Sud et nous on en vient à encourager des méthodes douteuses comme la fécondation in vitro. Je suppose qu’on nous rétorquera que l’adoption est plus chère, mais l’État avait le cash pour renflouer les banques, pour le G20, pour l’armée ,etc. Ce sont des choix politiques. On ne parle même pas des paradis fiscaux, de la non imposition des banques et des grandes entreprises.

    Ces enfants là (au Sud)ne demande peut-être juste ça trouver une famille qui pourra subvenir à leurs besoins et on les abandonne.

    Tout ça pour du $, de beaux bébés blancs, pour que ce soit «nos enfants» (enfin leurs enfants, je n’en veux pas) et pour Julie Snyder.

    Et après, on va nous accuser de prôner le suicide. C’est bien la collectivité qui prône un suicide collectif en agissant de la sorte et non pas nous. Leur modèle n’est pas viable à moyen/long terme, encore moins sous le capitalisme et la société de consommation.

    1. « On ne parle même pas des paradis fiscaux, de la non imposition des banques et des grandes entreprises. »

      Je ne suis pas nécessairement contre les paradis fiscaux, mais le problème est l’existence même des corporations et les impôts trop élevés ailleurs.

      Entièrement d’accord avec le reste!

  3. Je suis tout à fait d’accord avec l’absurdité de la procréation assistée gratuite au Québec, surtout quand on pense qu’énormément de bébés sont tués par l’avortement, une métaphore du gaspillage constant auquel tout le monde participe. On jette les non-désirés pour en créer d’autres alors que les premiers auraient pu être adoptés par les parents qui participent à la procréation assistée. Un autre non-sens…

    1. On ne peut pas forcer une femme à accoucher tout de même. Idéalement, elle accepterait de passer à travers le processus et de laisser d’autres parents adopter l’enfant, mais je doute que plusieurs femmes acceptent ce procédé.

      Les femmes ne voudront pas porter l’enfant pendant huit mois pour ensuite le donner. Quoi qu’il y a le phénomène des mères porteuses, mais je présume que ça resterait minoritaire.

      Il y une grosse différence entre un foetus et un nouveau-né.

      1. On s’entend là-dessus! Mais certaines pourraient accepter.

    2. Bienvenue ici Emmanuelle! 🙂 Je suis en faveur de l’avortement. Voici ma position:

      https://anarchopragmatisme.wordpress.com/avortement/

      La plupart des anarchistes, sauf certains anarchistes de droite ou anarcho-capitalistes, sont d’accord avec moi.

      Cependant, là où je vous rejoins, c’est qu’il y aurait moins d’avortements si l’adoption était plus facile, ça oui!

  4. C’est ridicule, je n’ai pas à payer pour le choix de vie des autres, sans oublier, bien sûr, que le système de santé coûte déjà assez cher de même!!!! Ceux qui veulent avoir un enfant in vitro peuvent toujours faire des économies et se le payer de leurs propres poches!!!!

    Sinon, les familles qui veulent la fécondation in vitro peuvent toujours se cotiser, s’associer et se créer une fondation à but non-lucrative (un peu comme Rêve d’enfants ou la Croix-Rouge) où les gens seraient libres de donner ou non de leur argent pour permettre cette fécondation!!! C’est si beau, l’esprit de communauté, c’est si beau!!! Mais, la fécondation payée à même l’argent de mes taxes et mes impôts pour réaliser le rêve des autres que je connais pas, c’est non, n’en déplaise à Julie Snyder!!!!

    Pour les allocations familiales, je em définis comme étant un libertarien et je suis pour ces allocations, qui seraient beaucoup mieux que le système de garde soviétisé qu’on a, actuellment, au Québec avec les CPE et le RQAP que tu as très bien décrit, d’ailleurs, David!!!

    «De plus, ce programme (en parlant des allocations familiales) est le seul qui peut être qualifié de «programme social» dans ma liste!»

    Je n’aime pas vraiment le terme «programme social». Dis plutôt le terme «filet social»!!! Les allocations familiales, le revenu de citoyenneté, la flat tax et les bons d’éducation sont, pour moi, des formes de filet social que l’on pourrait aisément retrouver, dans une société libertarienne!!!! D’ailleurs, je suis pour ce genre de filet social!!!

    Pour ce qui est de l’école, je ne souhaite pas son abolition en tant que tel et encore moins l’abolition de l’âge de l’instruction obligatoire!!! Ce serait un pur non-sens, à mon avis!!! En mon sens, il vaut mieux désétatiser complètement le système d’éducation, ce qui veut dire:

    1) Abolir les commissions scolaires;

    2) Privatiser toutes les écoles;

    3) Privatiser l’UQAM et Concordia;

    4) Abolir les subventions aux écoles privées qui pourront enseigner dans la langue qu’elles voudront (je n’ai rien contre les écoles privées, puisque je suis un pur produit du privé, mais j’en ai juste contre le fait que celles-ci soient subventionnées);

    5) Abolir les Cégeps qui seraient remplacés par des collèges techniques de 2 ans comme dans le reste du Canada (philo en moins). Ajouter une année au secondaire (secondaire 6) avec les cours de philo et une année à l’université qui servira à faire les cours préparatoires comme aux États-Unis et dans le ROC;

    6) Pour assurer la pérennité de la démocratisation de l’éducation, donner le mandat aux villes de donner des bons d’éducation à leurs citoyens;

    7) Abolir le Ministère de l’Éducation!!!!

    «Cette litanie de programmes étatiques visant à stimuler le taux de natalité»

    Si les CPE, le RQAP, et le système d’éducation étatisé visent à stimuler le taux de natalité, alors c’est un échec: http://www.antagoniste.net/2010/07/14/le-baby-boom-imaginaire/

    En passant, David, c’est quoi ton opinion sur la DPJ??? 🙂

    1. « Pour les allocations familiales, je em définis comme étant un libertarien et je suis pour ces allocations, qui seraient beaucoup mieux que le système de garde soviétisé qu’on a, actuellment, au Québec avec les CPE et le RQAP que tu as très bien décrit, d’ailleurs, David!!! »

      Je me doutais bien que tu allais être d’accord, en fait.

      « Je n’aime pas vraiment le terme «programme social». Dis plutôt le terme «filet social»!!! Les allocations familiales, le revenu de citoyenneté, la flat tax et les bons d’éducation sont, pour moi, des formes de filet social que l’on pourrait aisément retrouver, dans une société libertarienne!!!! D’ailleurs, je suis pour ce genre de filet social!!! »

      Une conception hayékienne?

      En ce qui concerne l’éducation, certaines de tes idées ont du bon mais j’ai changé et je suis contre l’école obligatoire maintenant.

      « Si les CPE, le RQAP, et le système d’éducation étatisé visent à stimuler le taux de natalité, alors c’est un échec: http://www.antagoniste.net/2010/07/14/le-baby-boom-imaginaire/ »

      En plus! Même s’il faut tout de même noter une certaine augmentation depuis quelques temps.

      « En passant, David, c’est quoi ton opinion sur la DPJ??? »

      Bof, pour le moment, ça me semble quand même nécessaire, malgré les nombrueux affres propres à cet organisme, mais si l’adoption était plus facile et si les parents n’avaient pas des droits de propriété hiérarchique absolus sur les mineurs, un tel organisme ne prendrait pas une telle importance, car les parents biologiques pourraient les confier à d’autres nouveaux parents.

  5. Les « Centres Pénitenciers pour Enfants »… c’est trop vrai, ça.

    1. Ce n’est pas moi qui l’a inventé. Merci à Stéphane Dumont, bien inspiré par Mona Reillé, j’imagine!

  6. Je suis tout à fait d’accord! Unisonnons nous, extinctionistes volontaires!

  7. En réponse à Bakouchaïev;

    Il est vrai qu’une femme qui porte un enfant non-désiré ne veut pas nécessairement le mettre au monde, étant donné qu’il ne sera pas ‘sien’. Cela démontre seulement à quel point l’irresponsabilité d’une personne ayant une relation sexuelle pour le plaisir est immense, car la fonction première de l’acte est la procréation.
    Bien sûr,la recherche d’une certaine jouissance lors du coït est normale, et les accidents porteurs de grossesses possibles. Dans ces cas, la femme pourrait au moins démontrer un esprit de communauté en laissant la vie à son enfant, une richesse que d’autres pourront chérir.
    Oui, il y a une différence entre un foetus et un nouveau-né, mais tout le personnel médical, l’argent, ressources nécessaires à un avortement coûtent cher, pour un meurtre. Car le nouveau-né se transformera en un individu forcément capable, d’une façon ou d’une autre, de s’impliquer et de contribuer au monde qui l’à accueilli.

    1. Misère, sachez que notre désaccord est fort probablement irréconciliable.

      « Cela démontre seulement à quel point l’irresponsabilité d’une personne ayant une relation sexuelle pour le plaisir est immense, car la fonction première de l’acte est la procréation. »

      Non, pas pour l’être humain. Les humains font d’abord ça pour le plaisir. La procréation est secondaire.

       » Dans ces cas, la femme pourrait au moins démontrer un esprit de communauté en laissant la vie à son enfant, une richesse que d’autres pourront chérir »

      Sauf qu’elle ne doit pas être forcée de le faire!

      « Oui, il y a une différence entre un foetus et un nouveau-né, mais tout le personnel médical, l’argent, ressources nécessaires à un avortement coûtent cher, pour un meurtre. »

      Mais évidemment, on oublie la liberté de la mère là-dedans!

      « Car le nouveau-né se transformera en un individu forcément capable, d’une façon ou d’une autre, de s’impliquer et de contribuer au monde qui l’à accueilli. »

      Pas nécessairement. Jean Charest aurait peut-être fait mieux de ne pas naître, n’est-ce pas? De plus, le nouveau-né risque d’être malheureux s’il est non-désiré ou élevé dans un environnement malsain.

  8. Cher David, je crois que vous lisez entre vos propres lignes, car je ne donne pas d’ordre aux femmes, je sais que ce que je dis est plutôt difficile à concevoir. C’est une conscience d’amour envers tout ce qui fait partie de nous et du monde qui, de nos jours, ici, en occident, n’est pas celle de tous et toutes.
    Je comprends très bien lorsque vous dites que les humains font ça d’abord pour le plaisir, mais ce que j’ai voulu dire, c’est que, d’un point de vue objectif, la fonction première des organes génitaux est d’assurer une relève dans l’espèce.

    En ce qui à trait au dernier passage de votre argumentation, que je trouve immensément comique, je vous dirais que, comme vous, je n’aime pas Jean Charest. Est-ce une raison valable pour regretter ça naissance? Sûrement. Mais quand même, ce vil personnage n’a pas forcément été élevé dans un environnement malsain ( selon mes critères de ce qui est malsain, j’en convient ), et il est tout de même devenu ce qu’il est. Vous ne croyez pas que tout le monde devrait avoir une chance de vivre?

    Le Québec que vous décrivez dans votre article n’est-il pas, pour tous les enfants, un environnement malsain? Ainsi devrait-on avorter toutes les femmes qui tombent enceintes sous prétexte que la procréation est immorale,comme vous le prétendez?

    Lisez-bien : ce ne sont que des opinions. En laissant les destructeurs procréer, encore et encore, nous abdiquons. C’est en éduquant à notre façon, et malgré tout, nos enfants, que nous forgerons une résistance à tous ces camps de concentrations libéraux étatistes et au MELS.

    1. « En ce qui à trait au dernier passage de votre argumentation, que je trouve immensément comique, je vous dirais que, comme vous, je n’aime pas Jean Charest. Est-ce une raison valable pour regretter ça naissance? Sûrement. Mais quand même, ce vil personnage n’a pas forcément été élevé dans un environnement malsain ( selon mes critères de ce qui est malsain, j’en convient ), et il est tout de même devenu ce qu’il est. Vous ne croyez pas que tout le monde devrait avoir une chance de vivre? »

      Mais bien sûr, je n’ai jamais dit le contraire, bordel. Et lisez le commentaire de François!

      « Le Québec que vous décrivez dans votre article n’est-il pas, pour tous les enfants, un environnement malsain? Ainsi devrait-on avorter toutes les femmes qui tombent enceintes sous prétexte que la procréation est immorale,comme vous le prétendez? »

      Oui, c’est malsain mais on doit leur laisser le choix! Quoique je recommande sans hésiter l’avortement.

      « C’est en éduquant à notre façon, et malgré tout, nos enfants, que nous forgerons une résistance à tous ces camps de concentrations libéraux étatistes et au MELS. »

      Bof, le PCUL n’est pas mieux et ils ont créé les CPE, les fascistes!

  9. Ce n’est pas L’EXISTENCE d’un individu qui est regrettable, dans l’optique extinctioniste, mais bien le processus qui a donné lieu à sa NAISSANCE. Dès qu’un individual est né, le processus est donc finalisé et on passe à une autre stage complètement. Ce qui est fait est fait.

    1. François, je suis entièrement d’accord avec toi. Je parlais plus spécifiquement de Jean Charest, et non pas de tout le monde.

  10. Aucune référence préférentielle n’a été faite en faveur du Parti Québécois.

    Aucun regret au sujet du fait que Charest existe n’a été mentionné.

    Jean Charest fait partie de tout le monde.

    Tout le monde a sa chance de vivre, mais vous recommandez fortement l’avortement.

    1. Non, je n’ai jamais dit que vous étiez partisane du PCul.

      Je recommande la contraception, et s’il y a lieu malheureusement, l’avortement, pour contrer la procréation.

  11. In Vitro? Je comprends pour les parents incapables d’en avoir (j’ai des amis dans cette situation…), mais fait est que, l’État bourgeois actuel met ce programme en place pour saborder un système de santé publique qui a besoin de personnel, de capitaux, etc.. C’est du sabordage, pour mieux privatiser «tantôt».

    1. Le pire, c’est que tu as raison, même si je suis en faveur de la mixité, dans le contexte actuel.

%d blogueurs aiment cette page :